19 novembre 2024
L'interface à l'Assemblée nationale du Québec I Jimmy Mayrand
11 janvier 2019
Article paru dans Le Fil le 10 janvier 2019 par Yvon Larose
Dans les Amériques, Curitiba, Montréal et Seattle montrent la voie en matière de transport urbain durable
La moitié de la population mondiale vit dans les villes et celles-ci émettent les trois quarts de la totalité des gaz à effet de serre (GES) produits annuellement sur la planète. Une grande partie de ces GES provient du secteur des transports, en premier lieu de l’automobile. Et la situation n’est pas sur le point de changer, selon Jean Mercier, professeur associé du Département de science politique. «Il y a sûrement des raisons d’être pessimiste face aux GES émis par les automobiles, affirme-t-il. Ils continuent d’augmenter. Pour certains, le progrès viendrait essentiellement des avancées technologiques. Mais il ne faut pas trop en espérer. Oui, il y a du progrès et de la recherche à cet égard, mais la voiture verte ou écologique ne fait rien pour certains problèmes comme l’étalement urbain et la consommation des ressources qui y est associée. Il faut dire que l’auto est un moyen de transport attirant dans le monde entier. Chaque semaine, en Chine, on achète des milliers de véhicules. La voiture offre beaucoup d’avantages. C’est un défi d’offrir une alternative collective qui soit efficace et confortable.»
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Le Réseau express métropolitain, un nouveau mode de transport de type métro léger, doit voir le jour en 2021. Il comprendra 26 stations et traversera la grande région de Montréal sur 67 kilomètres.
Photo: REM